Avec un montant de collecte en constante hausse chaque année, l’assurance vie ne cesse d’attirer de plus en plus d’épargnants. Il est de loin considéré, comme le placement préféré des Français, et ce quel que soit l’âge, le montant, ou encore le motif. Il est vrai que l’assurance vie présente de nombreux avantages, qui ne s’arrêtent pas seulement à son cadre fiscal. Elle constitue un sérieux atout en matière d’épargne, de succession, et même d’investissement. Le plus intéressant avec ce genre de placement, c’est les différents types d’actions dans lesquelles on peut l’investir sur le long terme.

Le fonctionnement de l’assurance vie

Il est possible de réaliser un investissement plus rentable et à long terme même avec une somme d’argent déjà mis de côté, à titre d’épargne de précaution. C’est notamment le cas grâce à l’assurance vie, un placement particulièrement avantageux à de nombreux titres. C’est souvent ce que conseillent la plupart des professionnels du secteur financier, à leurs clients. Pour bien alimenter un compte, tout en bénéficiant d'exonérations d’impôts sur les intérêts obtenus, les professionnels estiment que l’assurance vie est le meilleur produit d’épargne à proposer. Ne se limitant pas seulement aux actions, contrairement à la PEA, elle s’adresse à une clientèle très large et un seul contrat peut à la fois consacrer des fonds euros garantis, des actions, et de l’immobilier. Pour les personnes disposant d’une capacité d’épargne, se tourner vers cette alternative figure alors comme la meilleure solution à adopter. Avec les conseils avisés de Julien Vautel, vous aurez la possibilité de faire le bon choix, face à la grande diversité d’assurance vie existant sur le marché.

Les principaux avantages fiscaux de l’assurance vie

Retirer une partie ou la totalité d’un capital placé sur une assurance vie reste possible, et ce à tout moment. Sachez quand même que pour en tirer les meilleurs avantages, il faut attendre au minimum huit années. Le premier avantage notable réside au niveau de l’imposition des plus-values. En effet, celles réalisées sur le contrat avant les huit premières années seront soumises à l’impôt sur le revenu, s’ajoutant ainsi à son revenu imposable. À partir de la 8e année de contrat, en cas de retrait ou de fermeture, les plus-values se voient exonérées dans la limite de 4 600 euros sur une année, si la personne se trouve être seule, célibataire, ou divorcé. Le montant de l'exonération peut atteindre 9 200 euros sur un an lorsqu'il s'agit d'un couple. En dehors de ces montants, le taux d’imposition sera de 7,5 %. Concernant la succession et la transmission de patrimoine, le capital destiné aux bénéficiaires désignés se voit aussi exonéré, en cas de décès. Que ce soit au profit du conjoint, du partenaire lié par un PACS ou des frères et sœur, l’exonération est totale, quel que soit le montant. Cependant lorsqu’il s’agit d’autres bénéficiaires, l’imposition dépendra de l’âge auquel le versement a été effectué.

Le caractère multi support de l’assurance vie

Un capital assurance vie peut être investi dans deux types de supports. Il y a tout d’abord les fonds euros. Ils constituent un capital essentiellement investi en obligation d’États européens et géré par une compagnie d’assurance. Possédant un caractère dynamique, les fonds euros ne sont pas non plus très concernés par des investissements en actions ou en immobilier. C’est un moyen très efficace pour optimiser la gestion de patrimoine, année après année. L’assurance vie peut aussi se traduire en unités de compte. Par définition, ce sont des fonds actions, obligations ou encore immobiliers, qui permettent d’alimenter encore plus et de rendre une épargne, plus dynamique. Contrairement aux fonds en euros, les unités de compte sont plus exposées à une perte en capital, mais d’un autre côté, elles offrent aussi des opportunités plus intéressantes si vous souhaitez augmenter vos gains sur le long terme. Quel que soit votre choix, gardez en tête que la performance des unités de comptes dépend de nombreux critères, et que ce ne sont pas non plus les plus répandues qui sont les plus avantageuses.

L’assurance vie, différente d’une assurance décès

La principale différence entre les deux, c’est que la première est avant tout, un produit d’épargne, alors que l’autre est plutôt perçue comme un produit de prévoyance. Au moment de la souscription, une clause doit être rédigée par le client et celle-ci doit aussi rester strictement confidentielle. Le montant du capital à transmettre au profit des bénéficiaires bénéficie de nombreuses exonérations, et le plus important conseil à retenir, c’est de prendre le temps et de ne pas se précipiter au moment de choisir parmi les offres les plus attractives présentes sur le marché.  En plus de ses avantages en matière successorale, l’assurance vie ne connait aucun plafond en matière de versement. En d’autres termes, une seule et même personne peut se souscrire à plusieurs assurances vies, et bénéficier ainsi des nombreuses garanties au moment de chaque dépôt qu’elle réalise. Faites confiance à Julien Vautel et pensez à faire des comparaisons, car ce choix présente un intérêt capital sur le long terme, concernant la gestion et de la progression de votre patrimoine.